Améliorer la qualité de l’air intérieur pour améliorer la qualité de vie

Il est indispensable de connaître les bons gestes à adopter au quotidien et ensuite de les faire connaître, soit à ses enfants soit à ses collaborateurs, etc. Par exemple, il faut aérer sa maison chaque jour en ouvrant grand les fenêtres et surtout lorsqu’on fait le ménage et la cuisine. On doit choisir avec soin les matériaux et le mobilier de sa maison et bannir les encens et les bougies parfumées. Ne pas oublier de vérifier si le système de ventilation fonctionne bien ainsi que le chauffage afin d’éviter les particules. L’entretien est également capital, entre autres choses le nettoyage de la grille de ventilation, des filtres de la VMC ou des bouches d’extraction.

Pour des bâtiments sains

Dans les immeubles de bureaux, les bâtiments de loisirs tels qu’une salle de cinéma, de concerts ou de sport peuvent aussi avoir une qualité d’air moindre. Dans un bâtiment de soins, un air vicié peut aggraver l’état des malades, propager une maladie nosocomiale ou provoquer d’autres problèmes graves. La solution consiste à contacter une société experte en la matière et qui va faire un diagnostic de la qualité de l’air, donner des recommandations et mettre en place une action pour améliorer les choses. Les spécialistes vont sensibiliser les personnes travaillant et fréquentant ces lieux pour qu’elles n’y fument pas et pour qu’un entretien régulier et méticuleux y soit fait.

La pratique du « zéro déchets »

La lutte contre le réchauffement climatique passe par une meilleure gestion des déchets. Ce système existe depuis quelque temps, mais pour 2024, ce geste écologique doit être de plus en plus renforcé. Le programme interdit de manière progressive l’usage des différents objets en plastique. Il est inscrit dans l’objectif d’atteindre zéro plastique à usage d’ici 2040. En France, l’utilisation de couvercles de boissons, de pique à steak ou des tiges sont interdites, le gouvernement a accordé six mois aux distributeurs de liquider leurs produits depuis le mois de janvier. Le recyclage, le triage et la réutilisation sont désormais à privilégier.

L’adoption de nouveau système de logement

L’habitat est le cœur de notre vie, il est tout à fait normal que le premier effort commence chez soi. La construction de maisons entraîne des impacts négatifs sur l’écologie. Chaque jour, 200 000 habitants de plus viennent retrouver un nouveau logement. Les êtres humains construisent de plus en plus de maisons, des immeubles et des villas. Des kilomètres de zones pavillonnaires et de nombreux gratte-ciel s’étendent en réduisant les terres disponibles. Actuellement, il existe des solutions pour vivre et construire plus écolo telle que les maisons et matériels renouvelables. Cela permet de réaliser une isolation performante pour baisser la note de chauffage et les émissions de CO2.

La modification des transports et le déplacement quotidien

Le transport est l’une des sources de pollution de la planète, il augmente les émissions de CO2 et les gaz à effet de serre. 45 % des travailleurs dans le monde utilisent leur voiture personnelle pour se déplacer au travail. Par conséquent, les gaz polluants deviennent plus concentrés. Pour l’année 2024, la priorité est de favoriser le recours au transport public et au covoiturage, l’objectif est de convaincre le plus grand nombre de population à choisir les transports en commun.

Les métiers verdissants et les métiers verts

Quand on parle du travail dans la transition écologique, il est essentiel de distinguer deux catégories d’emplois : les métiers verdissants et les métiers verts.

La première catégorie rassemble les professions qui existent déjà, mais qui intégreront la dimension environnementale et écologique. Les métiers verts, quant à eux, sont les nouvelles professions qui permettent de contrôler, d’évaluer, de prévenir et de réduire les dommages et les conséquences négatives de notre mode de vie sur l’environnement.

Les métiers émergents de la transition écologique

En général, il y a trois catégories d’emplois verts. Il y a tout d’abord les métiers du traitement des déchets et de l’assainissement. Vous pouvez alors envisager de devenir technicien en traitement des déchets ou technicien d’assainissement après votre formation.

Puis, il y a les fonctions de la protection de l’environnement et de la nature. Si vous suivez des formations se rapportant à ce sujet à l’ISE, vous pouvez devenir juriste en environnement, expert en géo-ingénierie, ingénieur en décroissance, conseiller en énergie partagée ou chef de projet. Vous pouvez même exercer en tant qu’ambassadeur du climat, activiste ou lobbyiste ou encore chargé de mission rénovation énergétique de l’habitat.

Enfin, il y a les métiers de la production et de la distribution de l’eau. Les formations concernant ces emplois vous permettent de postuler comme manager, conseiller, ingénieur en génie des matériaux, agrégateur, éco-concepteur, responsable QHSE, ingénieur en efficacité énergétique, etc.

Les postes à pouvoir dans la catégorie des emplois verdissants sont principalement les métiers des secteurs du bâtiment, de l’agriculture, de l’industrie, de la recherche et du développement des transports.

Qu’est-ce que le bioplastique ?

Le terme bioplastique renferme le plastique biosourcé et le plastique biodégradable qui sont de plastique compostable.
Le plastique biosourcé : est entièrement ou partiellement composé de matière naturelle souvent d’origine agricole au lieu du pétrole. Ce sont des composés à partir de produit d’amidon, d’huile végétale ou de saccharose. Tous les plastiques biosourcés ne sont pas biodégradables, seulement 40 % le sont.
Le plastique biodégradable : comme son nom l’indique, il est supposé se dégrader en élément simple comme l’hydrogène, le carbone… Selon la norme européenne, une matière est dite biodégradable s’il se détériore à 90 % dans un délai de six mois et produit un compost riche en nutriments pour les plantes.

Le bioplastique est-il la panacée pour l’environnement ?

Bioplastique ne signifie pas que c’est un plastique meilleur pour l’environnement, parfois ils peuvent engendrer des problèmes environnementaux plus fastidieux.
• les bioplastiques ne sont pas forcément biodégradables
• Les plastiques biosourcés ne sont pas aussi anodins pour la santé, car ils sont aussi toxiques que les plastiques conventionnels.
• Le plastique biodégradable ne se dégrade que dans des conditions précises et contrôlées donc en laboratoire et pas dans des conditions réelles.
• La production de bioplastique nécessite une grande production en matière première comme la canne à sucre, les pommes de terre ou le maïs ce qui implique l’utilisation de fertilisant et de pesticide.

Le plastique est omniprésent dans nos vies et on a du mal à s’en passer. Le bioplastique n’est pas encore le remède miracle que l’on attend ; du moins pas jusqu’à maintenant. La recherche doit encore progresser afin d’obtenir un plastique biodégradable dans des conditions comparables aux situations naturelles.

L’impact du fast Fashion

En France, un Français achète, annuellement, près de 9,2 kg de nouveaux vêtements et de chaussures. Rappelons que le terme fast Fashion désigne le renouvellement rapide des collections de vêtements. Il a pour principal objectif de produire et de vendre le maximum de collections vestimentaires possible.

Selon les informations sur l’écologie par www.mamaisonmasante.fr, sachez que le secteur de la mode est parmi les trois premiers dans la liste des industries les plus polluantes au monde. Il est d’ailleurs responsable de 17 à 20 % de la pollution mondiale de l’eau. Si l’on parlait du coton, la récolte de 1 kg de coton nécessite près de 5 200 litres d’eau. Avant d’être utilisé au niveau des industries textiles, le coton passe par plusieurs étapes, notamment par le traitement chimique comme les pesticides avec un pourcentage de 22 % de pesticides utilisés durant une année. Ce qui risque de nuire, non seulement à la santé des travailleurs, mais aussi à l’environnement. Sachez également qu’avant de devenir le vêtement que vous portez, le coton doit être travaillé. En ce qui concerne la teinte par exemple, certaines industries textiles utilisent des métaux lourds toxiques. Or, elles ne prennent pas en charge leurs déchets y afférents. Ces déchets sont ensuite déversés vers les rivières. Ce qui affecte les animaux et les espèces végétales qui se trouvent dans les alentours.

Le Fashion Pact : vers un mode plus écolo

Grâce au Fashion Pact, plus de 150 marques de textiles s’engagent pour l’environnement. Cet engagement se manifestera par la réduction de l’impact de leur production sur l’environnement marin, à savoir, les rivières ou les cours d’eau. Ainsi, elles devront mettre en œuvre des initiatives qui vont dans ce sens. Premièrement, elles s’engagent à bannir les plastiques à usage unique, qui sont par la suite jetés dans les océans. Ensuite, elles acceptent de remettre en état la biodiversité en protégeant les espèces d’animaux rares et menacés. De plus, elles s’engagent à réduire, voire à éliminer totalement l’émission de CO2 d’ici l’année 2050. Elles peuvent aussi opter pour les matières premières durables dans leur choix de matière première.

Les industries du textile sont aujourd’hui incitées à revoir leur quantité de production, afin de diminuer la production et éviter la surproduction, mais aussi à investir dans les réseaux de seconde main.

On retrouve cet engagement des sociétés dans la mise en place d’un département spécifique, créé à cet effet, qui est le département Responsabilité Sociale de l’Entreprise. On peut dire que la création de ce département résulte de la pression de leurs clients qui veulent connaître la source de leurs matières premières comme la peau d’animal.

Pourquoi utiliser des écocups ?

À mesure que les entreprises se préoccupent des déchets qu’elles produisent, la nécessité de rechercher des alternatives qui réduisent l’impact environnemental s’accroît également. On parle beaucoup de la possibilité de remplacer les gobelets en plastique par des modèles réutilisables pour rentrer dans une démarche écoresponsable et c’est précisément là que les ecocups réutilisables entrent en jeu !

Ce sont des gobelets en plastique qui ressemblent aux modèles traditionnels que vous utilisez déjà dans votre bureau. Leur grande différence est qu’ils seront réutilisables pendant des années et des années contrairement aux gobelets en plastique classiques. Il en résulte alors un gobelet qui rentre directement dans une démarche éco responsable.

Comment faire la différence dans votre bureau ?

L’utilisation d’écocups n’est qu’une des possibilités dont nous disposons pour avoir un impact moindre sur l’environnement avec les déchets que nous produisons. Si les grandes entreprises ont déjà entrepris des démarches en adoptant des programmes pour économiser l’électricité et l’eau, il va de soi que nous devons tous faire des efforts.

Dans les petits établissements, il y a aussi des actions à entreprendre. Par exemple, les déchets produits peuvent être séparés entre les déchets recyclables et non recyclables. Ce qui est recyclable peut être périodiquement livré aux points de collecte. Il est important d’éviter au maximum de produire des déchets si ce n’est pas nécessaire. Cela ne signifie pas que vous devez cesser d’imprimer vos rapports ou éviter d’utiliser des post-it. L’idée est que vous pouvez continuer à les utiliser mais toujours de manière plus consciente.

Comment impliquer vos employés dans ce parcours ?

La lutte pour le recyclage des produits n’est pas le résultat d’une seule personne, bien qu’une personne faisant sa part soit pertinente. Pour que les idéaux du recyclage et de l’écologie soient vraiment pris au sérieux dans votre entreprise, il faut que le plus grand nombre de personnes possible soit impliqué !

Vous pouvez par exemple mettre en place des campagnes visant à expliquer pourquoi il est important de ne pas gaspiller les fournitures de bureau et pourquoi pas fixer des objectifs ou des limites d’utilisation. La sensibilisation est le meilleur moyen pour toute une communauté d’apprendre à respecter la nature dans la vie de tous les jours. Rappelez-vous qu’au bout du compte, toutes les personnes impliquées sont gagnantes car elles reçoivent en retour une entreprise plus durable et pérenne.

Pour vous aider dans cette démarche d’éco responsabilité, n’hésitez pas à vous tourner vers des boutiques éco responsables comme Esprit Planète qui vend des écocups ! Cela pourra constituer un premier palier vers le chemin de l’éco responsabilité au sein de votre entreprise !

L’histoire du ministère de l’Ecologie

C’est seulement en 2007 que le mot « écologie » apparaît en rapport avec un ministère du gouvernement français, lorsque fut fondé le ministère de l’Ecologie et du Développement durable. L’appellation a été quelque peu modifiée en 2012 car ce ministère est devenu le ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie. 4 ans après, il était question de ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer et enfin, il y a 2 ans, soit en 2017, on parle de ministère de la Transition écologique et solidaire.

Attributions au sein du ministère de l’Ecologie

Un ministre dispose d’une administration centrale qui est composée de deux structures. La première est le secrétariat général qui assiste le ministre au niveau des ressources humaines et de la fonction financière, en matière de stratégie de communication interne et externe, dans le cadre des tutelles des établissements publics nationaux, pour élaborer la position et la politique du ministre sur la scène européenne et internationale et dans la politique de sécurité et de défense du périmètre du ministère. La seconde structure, c’est le Commissariat général au développement durable, ou CGDD, dont la mission consiste à définir, mettre en œuvre et suivre de près la stratégie nationale de développement durable. Au sein du ministère de l’Ecologie, il existe 6 directions opérationnelles que sont la direction générale de l’Energie et du Climat, celle des infrastructures, des Transports et de la Mer, celle de l’Aviation civile, celle de l’Aménagement, du Logement et de la Nature, la direction générale de la Prévention des risques et la Délégation à la sécurité routière.

Limiter les surconsommations d’énergie

La principale mauvaise habitude qui a été remarquée dans la grande majorité des foyers, c’est le fait de surconsommer de l’énergie. Les différents modèles d’électroménagers qui existent sur le marché sont le plus en plus performants, mais nécessitent une grande consommation d’électricité. Pour remédier à ce problème, il est alors conseillé d’utiliser des appareils avec la classe d’énergie la plus performante.
Par la suite, il suffit de limiter les utilisations fréquentes de certains appareils. Le mieux, c’est de les utiliser sous le mode éco. Sous cette fonction, il y aura beaucoup moins d’eau et d’énergie qui seront consommées. Il est aussi préférable de se passer de certains instruments comme le sèche-linge par exemple, car il est nettement plus écologique de laisser son linge sécher à l’air libre.

Penser à l’éclairage et aux branchements

Adopter un comportement écoresponsable, c’est aussi penser aux différents branchements inutiles à la maison. Plus concrètement, il faut toujours penser à débrancher ses appareils électroniques même s’ils ont déjà été éteints. Laisser un appareil branché, c’est risquer le fait qu’il continue à s’alimenter en énergie.
Il en va de même pour les différents éclairages à la maison. Même s’il est agréable et rassurant d’avoir des lumières allumées autour de soi, il s’agit d’un grand gaspillage énergétique. L’astuce est d’utiliser des ampoules à basse consommation, comme le LED.

Le minimalisme commence avec la décoration de la maison

Un mode de vie minimaliste requiert de faire un tri dans sa vie, à commencer par les affaires accumulées chez soi. Dans le salon par exemple, il faut le strict nécessaire. Ce qui limite souvent la déco à un canapé et un meuble télé. Une table basse pourrait également venir améliorer le living. Les vases et les bougeoirs en tout genre devraient disparaître pour laisser le maximum d’espace dans la salle de séjour. Ce lieu de vie n’a même pas besoin de cadre photo et d’autres décorations qui chargent l’ambiance. La cuisine de la maison minimaliste n’a pas systématiquement la fameuse batterie d’ustensiles et les services en porcelaine qui ne servent que rarement. Adossé au plan de travail, le bar avec les chaises hautes constitue une idée de génie pour gagner de l’espace. Cet aménagement évite d’avoir une vraie salle à manger trop encombrante. La chambre à coucher devrait avoir le strict minimum pour dormir.

Minimalistes : changez vos habitudes de consommation

L’Homme a tendance à accumuler dans son habitat des tas d’objets, dont certains lui sont totalement inutiles. Si vous pensez que vous avez trop d’affaires à la maison, pensez à vous en débarrasser. Essayez notamment de donner une seconde vie à vos vieux meubles. Débarrassez-vous des vêtements que vous ne mettez plus. Faites un don à une association caritative par exemple. Changez complètement de mode de consommation. N’achetez que ceux dont vous avez réellement besoin. En embrassant une vie minimaliste, vous verrez, vous allez faire des économies que vous pouvez plus tard investir dans des activités ou dans un placement. Méfiez-vous de la nourriture. En effet, c’est sur ce domaine que vous faites le maximum de gaspillage. Si le consumérisme vous déplaît, arrêtez de croire aux publicités. La société de consommation n’est plus d’actualité.

Deux notions prêtant à confusion

Par définition, l’écologie vient des mots grecs « oikos » qui signifie maison et « logos » qui signifie science, ainsi, il s’agit d’une science de l’Habitat. L’habitant étant le milieu naturel, on peut donc conclure qu’il s’agit de la science de l’environnement. Il s’agit donc de la science qui étudie les rapports entre la biodiversité, l’écosystème et les êtres vivant. Il analyse en quelque sorte les impacts de l’action de l’Homme sur la nature. De l’autre côté, l’environnement est considéré comme étant le cadre naturel dans lequel l’homme vit. Ainsi, l’environnement est tout ce qui nous entoure et l’écologie est la science qui sert à la protéger. Ces deux notions prêtent souvent à confusion, la première ne pouvant être mise en œuvre sans la seconde. Si dans la pratique la confusion ne pose pas de problème, pour les professionnels, il est important de savoir distinguer les deux termes.

Vers une extension du terme écologie

Mis à part e fait qu’elles soient souvent confondues, le terme écologie est également utilisé dans d’autres dimensions. A titre d’exemple, elle est souvent associée aux partis politiques vers des années 60 qui avaient pour but de lutter contre la dégradation de l’environnement. A vrai dire, on devait utiliser le terme écologisme pour désigner cette analyse, mais la pratique a fait en sorte que le mot écologie soit banalisé et utilisé dans le langage courant. Aujourd’hui, le mot écologie a pris plusieurs dimensions. On parle maintenant d’écologie humaine ou même d’écologie politique. La première a pour principal objectif d’étudier le genre humain, la seconde est un courant de pensée visant à prendre en considération l’impact des décisions politiques sur le système écologique.