Quelques idées d’action contre les armes nucléaires
Depuis la fin de la Guerre froide, les armes nucléaires se font plus discrètes. Cela dit, ces tueuses existent encore et peuvent être activées du jour au lendemain. Il est nécessaire d’agir pour alerter l’opinion, mais surtout pour inciter les politiques à la dénucléarisation de la géopolitique.
Des jeux pour sensibiliser contre les armes nucléaires
En France, l’humour reste un excellent moyen de toucher le plus grand nombre. Les structures associatives ont imaginé différents supports ludiques pour sensibiliser sur le danger des armes nucléaires. Ce sont notamment des cartes qui expliquent que la dissuasion avec des bombes meurtrières ne constitue pas une solution. La sécurité nationale peut se négocier autrement. Puis, les rapports de forces pourront prendre d’autres formes. Les antinucléaires font un lobbying avec des supports de communication satiriques.
Participer à une manifestation antinucléaire
Les dangers des armes nucléaires sont bien réels. En cas d’attaques venant de l’extérieur, les partisans comme les détracteurs de bombes à champignon géant seront concernés. Une ou deux unités pourront rayer toute une ville. Ce sont des raisons pour lesquelles il faut participer activement aux manifestations. Les activistes pourront faire un meeting devant les institutions étatiques ou près des locaux des usines d’armement. Il faudra prendre conscience que les manifestations devant une caserne ou un autre endroit stratégique sont à proscrire.
Arrête de financer indirectement l’industrie d’armement
La France est l’une des championnes de l’exportation d’armes en tout genre. Les avions de chasse font la fierté du pays. Cette performance est en partie soutenue par la population. Le contribuable participe indirectement au financement des armes nucléaires. Près de 420 milliards de recette fiscale sont nécessaires à l’État français pour se doter d’un armement nucléaire dissuasif. Les entreprises privées ont aussi leurs mots à dire. En effet, elles obtiennent leur financement des banques primaires où les Français ont leur épargne.